Fête de la Musique
Que les parents qui n'ont jamais connu une rentrée agitée lèvent le doigt ! Nouveau rythme, nouveaux repères,…
La reprise de vos activités est possible : nos Babychou-sitters sont équipés et informés et peuvent prendre soin de vos enfants
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Je trouve mon agenceQue les parents qui n'ont jamais connu une rentrée agitée lèvent le doigt ! Nouveau rythme, nouveaux repères, parfois nouvelle école : rien d'étonnant à ce que ces changements génèrent du stress et de l'appréhension pour les enfants comme pour les parents. Chez Babychou Services, la garde à domicile d'enfants de 0 à 12 ans, c'est notre quotidien depuis plus de 25 ans. Autant dire qu'on en a accompagné des familles, avec bienveillance, écoute et professionnalisme !
Alors cette année, on a décidé de donner un petit coup de pouce aux parents : trois Babychousitters, intervenantes professionnelles formées et expérimentées, partagent leurs conseils et astuces pour préparer et réussir cette période clé.
Pour Christine, intervenante au sein de l'agence Babychou Services de Toulouse Ouest, le secret d'une reprise réussie, c'est l'anticipation, mais en douceur. Quel que soit l'age de l'enfant, elle conseille, deux ou trois semaines avant la rentrée, de parler avec son enfant de la reprise de l'école. Pas question de l'angoisser, bien sur, on opte pour un discours apaisant et positif : on pose les bases du prochain rythme quotidien (école, cantine, garderie...), du choix des activités en dehors du temps scolaire, on évoque les prochains adultes référents que l'enfant sera amené à côtoyer (enseignant(s), ATSEM, animateurs, etc.). Cet échange progressif et régulier donne à l'enfant l'opportunité d'exprimer ses doutes, ses interrogations, ses inquiétudes, et on peut alors y répondre au mieux et le rassurer.
Autre bonne idée, qui peut s'avérer ludique, parcourir le trajet jusqu'à l'établissement scolaire avec l'enfant, et lui faire découvrir tel ou tel magasin , tel ou tel jardin qui lui servira de premiers repères, jusqu'au portail de l'école. Bien sur, s'il y a la possibilité avant la rentrée des classes de rencontrer son prochain enseignant, voire la nounou ou le ou la babysitter qui viendra le chercher à la sortie de l'école, c'est encore mieux !
On profite également de cette période pour réaliser, avec l'enfant, les derniers achats pour la rentrée, et le rendre acteur des préparatifs, pour l'impliquer au maximum. "Le sac à dos qui abritera le doudou pour les tout-petits, et, pour les plus grands, le cartable ou le sac ainsi que les fournitures à l'effigie de leur personnage favori, constitueront autant de sources de motivation supplémentaires pour aller en classe et étrenner avec fierté ses nouvelles acquisitions", explique Helena, intervenante au sein de l'agence Babychou Services de Haute-Corse.
On ne va pas se mentir, l'été, on se laisse un peu aller et c'est tant mieux ! Mais reprendre un rythme de sommeil, rappelle Christine, c'est essentiel pour arriver en forme le jour J et les suivants. "Pour remettre progressivement l'enfant dans un horaire de coucher adapté à son age, on peut utiliser comme variable d'ajustement, un temps calme, de lecture ou de coloriage par exemple. 19h30 est ainsi un horaire idéal pour les tout-petits, 20h à 20h30 pour les primaires, et jusqu'à 21h ou 21h30 pour les collégiens", précise-t-elle.
Célia, intervenante à l'agence Babychou Services de Montpellier Nord, insiste également sur l'importance d'une alimentation équilibrée, du petit-déjeuner qui doit permettre à l'enfant d'avoir du "carburant" pour ses activités, jusqu'au gouter, parfois trop riche et sucré, qui peut avoir des conséquences néfastes sur le comportement de l'enfant. "Certains parents croient bien faire en laissant leur enfant dormir le plus tard possible et en le réveillant à la dernière minute. Ce n'est pas une bonne idée pour les enfants qui parfois trop pressés vont avaler un petit-déjeuner frugal - quand ils ne le sautent pas -, et doivent ensuite courir pour arriver à l'heure à l'école... Il est au contraire important, dès le plus jeune age, de prendre son temps le matin pour éviter à toute la famille un stress inutile et favoriser le bien-être de l'enfant!", complète-t-elle.
Parmi les plus grandes sources d'inquiétudes des parents avant la rentrée en maternelle, nos trois intervenantes évoquent en top 1 la propreté ! Pas de panique, rassure Christine, car les discours des établissements scolaires sont de plus rassurants à ce sujet : il s'agit donc là surtout d'une pression que se mettent les parents, souvent en se comparant... Cependant, faciliter l'acquisition de la propreté chez les tout-petits passe par des conseils simples, à commencer par ne pas paniquer, comment Célia. Tout va pouvoir se mettre en place progressivement pendant l'été, en profitant des beaux jours pour tester des journées sans couche, en proposant régulièrement le pot à l'enfant et en laissant celui-ci en libre accès, dedans ou dehors. Héléna rappelle également l'importante de ne pas gronder l'enfant en cas d'accident. Au contraire, on l'encourage, le rassure, et on peut aussi miser des livres éducatifs pour y aller en douceur.
L'entrée en maternelle rime aussi avec un gain en autonomie, notamment pour s'habiller : les enseignants et ATSEM leur apprennent souvent des petits "trucs" pour enfiler facilement son manteau par exemple. A la maison, cet apprentissage se fait, là aussi, en douceur et de façon progressive. Christine conseille de préparer avec l'enfant, la veille au soir, les vêtements du lendemain. "Attention cependant à ne pas le laisser sans indications (météo par exemple) et le laisser tout choisir tout seul au risque de le voir débarquer à l'école déguisé en superman ou en pull de ski alors qu'il fait 25 degrés ! Il s'agit plutôt de lui donner un cadre rassurant, en lui donnant le choix entre un short et une robe...", précise Célia qui rappelle l'importance des vêtements confortables, faciles à mettre et à enlever.
La séparation peut parfois être problématique pour certains enfants. Pour la faciliter, Héléna souligne l'importance d’être à l'écoute de son enfant, surtout la première semaine. On prend soin de l'accompagner dans la classe, on veille à ce qu'il ait bien repéré les adultes référents, et qu'il ait en tête le programme de sa journée. Célia propose une petite astuce : celle du dessin d'un cœur au poignet du parent et de l'enfant. "On explique à l'enfant que si maman ou papa lui manque, ou s'il a un peu de chagrin, il peut toucher le cœur et il saura alors que maman et/ou papa pense à lui et l'aime fort, et que les parents pourront faire pareil de leur coté. Cela s'avère parfois rassurant...pour les deux ! On peut aussi instaurer quelques rituels du matin, comme le dernier coucou à la fenêtre, un rituel de bisou (sur le nez, sur les yeux,...) ou bien sur, un objet transitionnel (foulard ou photo). Et, en fin de journée, après avoir retrouvé son tout-petits, on veille à continuer d'échanger avec lui, en lui demandant ce qu'il a fait dans la journée, ce qu'il a appris, aimé, moins aimé, et en le félicitant pour les progrès accomplis.
A l’entrée au primaire, survient pour les parents la question épineuse de la gestion des devoirs : comment éviter que ce moment ne dégénère ? Pour cela, nos trois intervenantes sont unanimes : il est primordial de proposer à son enfant un véritable sas dé décompression après l’école. Les devoirs n’interviennent qu’après un temps d’échange sur la journée, le goûter, et un temps de détente ou de jeu, de lecture ou de dessin par exemple – sans écran si possible ! – le tout pour 30 à 60 minutes, selon les besoins de l’enfant et son état de fatigue.
L’heure des devoirs arrivée, Héléna conseille d’installer l’enfant dans un environnement calme, avec si possible un temps fixe. On s’assure que les devoirs ont bien été notés sur le cahier de texte, puis on balaie avec lui tout ce qu’il doit faire pour le lendemain ou les jours suivants. Elle conseille de procéder ensuite devoir par devoir, en sortant progressivement les affaires, afin que l’enfant découvre peu à peu la satisfaction du devoir accompli. Pour plus d’autonomie, on peut par exemple lui demander par quoi il souhaite commencer. Si le parent doit accompagner, se rendre disponible et offrir son aide si besoin, il doit s’empêcher d’être continuellement « sur son dos », pour qu’il apprenne à se débrouiller seul. Christine souligne, là encore, le besoin de rester positif dans son discours : on demande ce que l’enfant a compris d’une leçon, ce qu’il a réussi à faire, sans insister sur ce qu’il ne sait pas faire. « Autre point important : le parent n’est là ni pour faire les devoirs à la place de l’enfant, ni pour se substituer à l’enseignant. On peut expliquer différemment la leçon si cela aide l’enfant, mais il faut aussi inviter l’enfant à dire à son enseignant qu’il n’a pas compris, pour de nouvelles précisions. », indique ainsi Christine. Héléna la rejoint sur ce point : « Il est important de penser avant tout aux besoins de l’enfant, et non pas aux attentes de l’adulte, qui souhaite à tout prix que son enfant ait de bonnes notes. C’est ainsi qu’il va progresser et gagner en autonomie. ». Pour éviter que les devoirs ne deviennent source de tensions, Célia propose quant à elle des astuces : amener ce temps important sous une forme ludique (on essaie de faire cet exercice chacun de notre côté, et ensuite on compare nos résultats, etc.) ou positive, en valorisant par exemple tout ce que l’enfant pourra faire une fois qu’il aura appris à lire - lire une histoire à sa maman ou à sa petite sœur, etc. L’intervenante montpelliéraine recommande aussi d’éviter de comparer son enfant aux autres : « les petites phrases du type « tu vois, il/elle arrive déjà à lire / a eu une meilleure note » sont sources de frustration et de dévalorisation, de manque de confiance en soi pour l’enfant. Et si jamais l’enfant, lui, le fait, on temporise en lui expliquant que certes, son camarade réussit ceci, mais que lui, en revanche, réussit cela. De même, on l’encourage dans ses efforts, en lui exprimant sa fierté, son amour : c’est important que l’enfant comprenne que l’amour de ses parents n’est pas proportionnel à ses résultats scolaires ! ».
En entrant au collège, les enfants gagnent bien sûr encore en autonomie. Mais Christine rappelle un point important : « l’autonomie et la confiance n’excluent pas le contrôle parental ! Cela vaut pour les devoirs, le choix des tenues… mais aussi pour les écrans. ». Sur ce point, nos trois babychousitters s’accordent pour conseiller aux parents d’être vigilants sur le temps d’écran et l’usage fait des téléphones, afin d’éviter toute dérive et conséquence sur le comportement ou le temps de sommeil de l’enfant.
Célia rappelle enfin l’importance, à tout âge, et sans exclure les collégiens, de trouver des moments de complicité et de partage avec son enfant : que ce soit lors de discussions à bâtons rompus, en faisant des jeux de société ou en pratiquant une activité sportive, qui contribue à créer et maintenir le lien. « Le sport est, à mon sens, essentiel pour les enfants, et notamment pour les collégiens qui parfois rechignent à bouger. C’est pour eux un excellent moyen d’entretenir leur forme physique, mais aussi de se socialiser. Un collégien ne doit pas passer tout son temps libre ou ses week-ends à faire ses devoirs ou réviser ! », précise-t-elle.
« A l’approche de la rentrée scolaire, et nos trois Babychousitters l’ont bien montré, l’essentiel, pour les parents, réside dans ce trio explications, confiance et bienveillance. Explications, pour que l’enfant puisse appréhender au mieux la nouveauté et tous ces changements qui l’attendent. Confiance, en ses capacités en tant que parent mais aussi en celles de son enfant. Avec de la préparation et de l’anticipation, tout va bien se passer ! Bienveillance enfin, au quotidien, pour toujours guider, soutenir, encadrer, encourager, féliciter : c’est ce qui permet à notre enfant de grandir sereinement et d’avancer"
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